Magnifique,
oui toi, mon magnifique doudou. Protège-moi. Protège-moi de cette
sombre nuit qui me fait tant peur. Protège- moi de ces merveilleux
monstres qui sont les principaux fondateurs de mes cauchemars. Ô mon
chevalier de la nuit, ô mon super-héros, va, va combattre ces
créatures qui me terrifient horriblement. Va, va me faire rêver des
choses les plus belles du monde, même si le monde n'est pas beau. Va
me faire rêver. Va, au lieu de me faire cauchemarder. Ô mon cher et
tendre doudou, ô le plus grand des petits lapins, réconforte moi.
Oui réconforte-moi quand je vais mal, réconforte moi en me faisant
des câlins. Fais moi sourire avec tes grandes oreilles de petit
lapin, fais moi sourire avec ta petite tête rigolote. Le plus
charmant, oui toi, le plus charmant des lapins. Tu es le meilleur, le
meilleur des doudous. Le plus doux des meilleurs doudous, oui le plus
beau avec ta blanche fourrure toute douce, oui le plus beau avec tes
yeux noisette. Ton doux parfum de lavande, oui ce si doux parfum, le
plus beau des parfums. Mon cher et tendre lapin, celui qui a grandi
avec moi. Celui qui a toujours été là pour moi, oui car dans ce
monde on ne peut pas compter sur les personnes qui nous entourent.
Mais toi mon lapin, je peux compter sur toi. Somptueux, toi mon
somptueux doudou, je peux te parler sans qu'on se moque, car cette
cruelle et belle société que nous avons ne sait que se moquer.
Pardonne-moi aussi, pardonne-moi pour t'avoir noyé dans mes océans
composés de larmes qui ont mouillé ton joli visage rond. Pardonne
moi de t'avoir abîmé les tympans de tes grandes oreilles avec mes
pleures incessantes et mes crises de nerfs. Pardonne moi également
de t'avoir fait mal en te jetant sur ce blanc carrelage de la maison.
Pardonne moi de cette infantile insolence. Depuis ma naissance tu me
berces, et je n'étais pas souvent tendre avec toi, mais toi, tu
l'étais avec moi. Merci d'avoir été là pour moi. Je t'aime .. Et
rien que le mot « merci » n'est pas assez fort pour te
remercier, ô toi doudou, ô toi mon doudou.
Knauff
Marine 3°B.
Mon beau et grand berceau , Ô toi, mon
vieux berceau, posé dans le salon de mon enfance, perdu maintenant sur le seuil
suranné des combles de ma mémoire. Rappelle toi, tu es le seul qui a pu
assécher mes douleurs, et me tenir enflammé dans tes abris de mille bontés.
Oui, je me souviens encore des moments passées avec toi, la fiabilité de me
laisser coucher sur toi, et la culpabilité que te donnais à ma famille
; tu
as su manier cela avec indulgence et fermeté. Oui tu m’as donné tant de
souvenirs, celui des tissus brodés par mes ancêtres, délicatement
ficelés de
dentelles et d’onéreux enchevêtrements insignifiants. Oui toi, ô mon
vieux et
renouvelable résidu, tu m’as laissé tant de sublimes exhalaisons que
j’arrive
encore merveilleusement bien à les sentir, et d’en faire les peintures
de mes aïeuls , que tu as toi même emmenés au cours de leur enfance à
eux aussi.
Soit toujours le landau que j’ai connu : quelqu’un
d’honnête, qui ne me laissait aucune rancune du venin que j’étais capable de
lui donner. Pardonne-moi de mon insolence, des criailleries que je te laissais au
fil de mon enfance. Sache que je t’aime…, petit enfant que tu as bercé tel la
lune avec le soleil, et qui ne t’en remerciera jamais assez.
Valentin Lemanski
Comme
je t’aime ! Tu es bleu, tu es beau, tu es rond ! Tu es attaché à moi,
comme je suis attachée à toi. Parfois, je me remémore ces bons moments
que nous avons passés ensemble. Les quatre cent coups, les moments de
fous-rires. Nous avons partagé nos peines et nos joies, et quand je te
regarde… la nostalgie m’assaille ! Je t’aime, je t’adore et je te
déteste aussi ! Je te déteste parce que quelques fois tu me fais peur.
Tu me fais peur parce que tu me rappelle que tu peux partir à tout
moment. Tu peux te détacher. Si tu te détache, je serais très
malheureuse… Le chagrin me tourmenterait. J’imagine ton bleu
merveilleux, comme j’imagine l’océan. Tes formes rondes comme j’imagine
notre éblouissante Terre. Ton éclat comme je me représente Venus, la
déesse de la beauté. Voilà trois ans aujourd’hui que tu me soutiens, que
tu es auprès de moi, collé à moi, dans ma vie, bonheur ou malheur… Tu
es toujours présent ! Je ne te laisserai pas partir, toi mon ami à la
couleur du ciel bleu. Sans toi, ma vie s’anéantirait. Tu es là, tout
prés de moi, la nuit, le jour. Tu as traversé les pays pour me
rejoindre. C’est surement la raison pour laquelle tu m’es si cher. O
non ! Ne pense pas que c'esr le voyage qui ait de la valeur. La valeur
vient des sentiments. Des sentiments que j’éprouve pour toi et
inversement. Tu viens de Grèce. Dans ce pays, tu es créé pour apporter
bonheur et prospérité. Tu me protèges et je te protège. Cela doit être
l’amitié, la vraie. La vraie, telle que je la connais avec mon amie
Clara. Cette amie, qui t’as offert à moi, qui t’as lié à mon poignet,
sur lequel tu es posé depuis maintenant trois ans. Tu es bleu, tu es
beau, tu es rond, mon bracelet. Celui qui est prés de moi chaque jour,
quand mon amie n’est pas là et qui la symbolise si bien.
Bracelet, bracelet de l’amitié. Je t’aime.
Bracelet, bracelet de l’amitié. Je t’aime.
Sarah Kahal
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